Amateur

Le soleil brillait encore fort alors que l’après-midi était à son apogée. Le parc du château était immense. Tout d’abord Rose avait traversé le grand jardin à la française aux arbres parfaitement taillés. Elle n’était passée par ici que le jour de la visite et c’était la première fois qu’elle pouvait admirer l’endroit en détail.

Tout était parfaitement millimétré et a sa place, les grands bassins rafraîchissaient l’air alors que les arbres formaient de grandes allées, elle repéra un labyrinthe et plusieurs patios et kiosques finement décorés.

Cet endroit était décidément un véritable domaine de seigneur. Si la situation avait été différente, Ava aurait sans doute adoré le visiter pour apprendre son histoire.

Derrière elle Sofia la suivait calmement, admirant elle aussi le décor, ses seins nus frappés par le soleil tressautaient à chaque pas tout comme la queue fichée dans ses fesses. Sa langue pendait au travers de son bâillon de métal et sa salive continuait de couler. Ava se demanda comment il était possible que sa langue ne soit pas sèche à ce stade. Mais après son expérience avec madame Brooks elle se dit qu’il était probable que ces femmes utilisent des drogues ou autres horreurs chimiques sur leurs esclaves.

Est-ce qu’elle aussi finirait comme ça? Se dit-elle soudain remplie d’une sourde frayeur.

Non! Elle allait s’en sortir! C’était obligé!

Finalement après quelques minutes de marches elle trouva enfin ce qu’elle cherchait. Elle avait eu raison en voyant ce gros bosquet non loin d’un des bassins extérieurs. C’était bien un petit jardin anglais qui reprenait la forme d’une forêt. Les deux esclaves pénétrèrent dans le petit écrin de verdure, le château n’était presque plus visible alors qu’elles admiraient l’endroit. Une petite clairière à l’herbe grasse inondée par un soleil rendu beaucoup plus agréable par la petite brise fraîche qui traversait le lieu.

Au milieu de ce décor féérique, une petite rivière coulait tranquillement dans un bruit cristallin.

Rose regarda autour d’elle, observant chaque arbre et chaque recoin. Elle avait vu juste encore une fois, jubila-t-elle intérieurement! Aucune des petites caméras qui infestaient le château n’était présente!

-Viens vite.

Dit-elle à Sofia qui se plaça devant elle.

Le plus délicatement possible Rose détachât le bâillon de l’esclave qui lui lançât un regard surpris, visiblement c’était la première fois depuis longtemps qu’elle n’avait pas cet anneau dans la bouche.

-Tu vas bien? Tu peux parler?

Sofia hocha la tête en malaxant sa mâchoire.

-Oui. Merci.

Dit elle d’une petite voix timide avant de la prendre dans ses bras et de l’embrasser avec passion.

-Gphnnnnon!

Souffla Rose en la repoussant.

-Non c’est bon pas la peine. Elles ne peuvent pas nous voir ici.

Sofia la regarda avec étonnement, mais une lumière finit par s’allumer au fond de ses yeux.

-Oh! Alors il faut trouver un endroit ou maîtresse nous verra!

-Quoi?! Non!

Rose était effarée par la réponse de Sofia.

-Mais nous devons faire plaisir aux maîtresses non?

-Bien sûr que non! On doit trouver un moyen de quitter cet endroit. Ça fait combien de temps que tu est avec la rousse? Tu as appris quelque chose?

-Madame aime que je la masse avec ma chatte et je me masturbe le soir devant elle. Dés fois quand je suis sage elle me lèche et je peux jouir. Oh! Et elle aime me donner la fessée quand je suis vilaine.

Dis Sofia en réfléchissant et se remémorant tout ce qu’elle avait appris sur sa maîtresse.

-Mais non pas ça! Je te parle de moyens de virer ces trucs!

S’exclamât Rose en pointant leurs colliers.

-Mais c’est un cadeau de maîtresse!

Réagit la chatte avec horreur en touchant son collier comme si c’était un bijou précieux.

-Bien sûr que non! il faut trouver un moyen de les enlever pour partir d’ici. À deux on aura plus de chance. Pourquoi tu crois que je t’ai emmené ici.

Sofia rougit à la question alors que Rose était complètement désemparée par le comportement de la chatte devant elle.

-Je pensais que vous allier me prendre dans l’herbe. Je vous aurais massé dans le ruisseau et on aurait joui très fort pour nos maîtresses.

Rose ne savait absolument pas qui répondre.

-Et puis partir? Pour quoi faire? Oh! si je sais. Pour aller acheter des cadeaux à nos maîtresses! Mais qu’est ce qu’on pourrait leur offrir? Elles sont déjà parfaites.

-Mais non! S’enfuir! Prévenir la police! Les faire enfermer!

Rose était rouge de colère. Comment cette fille pouvait dire des choses pareilles! qu’est que cette femme avait bien pus lui faire pour la rendre comme ça!

-Partir, mais pourquoi? Maîtresse est gentille et elles nous donnent une belle vie. Et puis elle est si belle. Et quand elle me fait jouir, mhhhhhh c’est si bon. Et elle sent si bon , mhhhhh j’aime ma maîtresse.

Elle avait commencé à se masturber en parlant d’Annie, plongeant ses deux mains dans son entrejambe et gémissant le plus fort possible escort reklamları sans aucune retenue.

Rose n’arrivait pas à y croire. Comment cette femme pouvait apprécier sa vie ici? Est-ce que c’était ça un esprit brisé? Est ce qu’elle allait finir comme elle? Non! elle allait la sauver, même si elle ne la voulait pas!

-Tu voudrais rendre mhhhhh ta maîtresse triste? Après tout gnhhhhhh ce qu’elle à fait pour toi? Gah!!!!! Elle le sait? nhhhhh!

Dit-elle en jouissant debout alors que Rose faisait de grandes promesses dans sa tête.

-J-Je.

Non! Elle allait prévenir Maria et ensuite elle se ferait punir! voir pire!

-N-non moi aussi j’aime ma maîtresse

Dit-elle en se disant que Sofia était définitivement perdue

-Toi aussi?!

Dit elle en se jetant sur la soubrette, la plaquant au sol avec un grand sourire.

-Moi je voudrais qu’elle me fasse l’amour comme ça!

Dit-elle en écrasant sa langue sur la bouche de Rose. Elle était forte! Se dit Rose en sentant le poids de la femme sur son torse.

-Mhhhhhhhh!

La langue qui fouillait chaque parcelle de sa bouche l’empêchait de formuler le moindre refus.

-Nhnnnn?!

Elle sentit une main se glisser sous sa jupe en dentelle et bientôt son entrejambe se fit malaxer alors que la chatte était jours en train de l’embrasser.

-Mhhhhh. Phtoooooop ghhhh!

Tenta-t-elle mollement de protester alors qu’un orgasme explosait dans sa chatte.

À ce moment là Sofia brisa son baiser alors que la jeune soubrette tremblait encore de son orgasme.

-Après je voudrais qu’elle enfonce ses jolis doigts en moi comme ça.

-A-Attennnnnnnd ghhhhhhh!

Mendia Rose alors que les doigts de la chatte rentraient en elle. Par des gestes experts, elle explorait désormais son intimité sans en oublier le moindre endroit.

-Maîtresse aime quand j’utilise mes doigts. Tu as vu comme je suis doué.

-Mhhhhhhhhh! pourquoiiiii mhhhh!

Gémit-elle en jouissant une nouvelle fois.

Sofia semblait peut être avoir la mentalité d’une esclave soumise elle n’en restait pas moi âgé d’au moins dix ans de plus que Rose. Elle avait bien plus d’expérience que la jeune fille. Ses doigts savaient parfaitement comment donner le maximum de plaisir.

-Pourquoi quoi?

Dit-elle en faisant un lent mouvement de piston avec deux de ses doigts tout en mordillant le téton visible au travers du petit trou en forme de cœur sur le bustier de l’uniforme de la soubrette.

-Pourquoi t-tu l’aiiiiiime?! Oh, oui , oui! oui!!!

Cette fois elle criait de plaisir! Si seulement Maria pouvait lui faire l’amour de cette façon.

Le téton sortit de la bouche de Sofia qui lui répondit en lui souriant alors que sa main libre pinçait le deuxième téton.

-Elle s’occupe de moi, elle me donne tout ce que je veux tant que je suis une bonne fille et puis je peux vivre avec elle.

Elle avait le regard d’une amoureuse.

-Et regarde, grâce à elle je suis sûr de vivre bien pour toujours! C’est comme vivre dans un rêve. J’étais destiné à servir maîtresse et c’est la plus belle chose qui pouvait m’arriver.

-Ahhhhhhhh , noooon!

Rose criait de rage et de plaisir alors qu’un nouvel orgasme la traversait, provoquant l’étonnement de la femme qui la doigtait.

-Non! C-ce n’est pas bien. Je veux pas devenir une esclave ghhhhh!

La chatte n’avait pas arrêté ses doigts et les ondes qui irradiât le corps de la soubrette la faisait trembler alors qu’elle tentait de parler.

-C-ces femmes sont folles, e-et j-e les laisserait aaaaah!p-pas faire. J-je veuheu pahah être une soubrette! même si dans le plus beau chaaaaateau du monde! mhhhhhhh!

L’orgasme la fit heureusement taire. Il fallait qu’elle se taise! vite! avant que cette folle de sa maîtresse ne répète se qu’elle venait de dire.

-Eh bien! quand Maria va entendre ça!

Les doigts se figèrent dans son entrejambe et son cœur manqua un battement sous la surprise.

Qui venait de parler?! Avec Sofia penchée sur elle Rose ne pouvait voir rien d’autre que le ciel au-dessus de sa tête.

-Même si je salue l’idée d’être venu ici pour parler de ta petite affaire.

Non! elle n’avait pas rêvé! il y avait bien quelqu’un!

Elle tordit son corps alors que les doigts se retiraient et enfin elle put voir la source de la voix. Elle crut d’abord a une hallucination, mais elle dut bien de rendre compte qu’elle était toujours dans le monde réel.

Devant elle, à la loré de la petite clairière qui abritait la chatte et la soubrette se tenait un étrange appareil.

On aurait dit une calèche, mais plus petite et aux lieux de chevaux c’était deux hommes nus qui la tirait. Rose ne pouvait pas voir leurs yeux qui étaient cachés sous une épaisse cagoule de cuir et les deux portaient un gros bâillon-boule de couleur rouge. Elle ne put s’empêcher de voir que leur seul habit se concentrait en des bandages au pied en cuir noir et ce qui semblait être une lanière de ce même cuir a la base escort resimleri de leur pénis.

La voix provenait de la passagère de la calèche. On aurait dit une chasseuse, elle avait un pantalon moulant noir et portait une chemise blanche ce terminant par un ourlet au cou, ses cheveux blonds étaient ramenés en une queue de cheval stricte qui rehaussait un visage fin et parfait. Dans sa main droite, elle tenait une longue cravache, suffisamment étendue pour atteindre son « attelage ».

Sa ligne était athlétique et sa poitrine comme son postérieur avait cette perfection que seule Maria arrivait à surpasser avec son corps de déesse. Elle regardait la soubrette haletante avec un grand sourire.

Rose était terrifiée. Qui était cette femme!?

Lentement celle-ci descendit de sa calèche alors que Sofia se relevait.

-Vous êtes une maîtresse?

La femme eut un petit rire en voyant le regard plein de joie et d’envie de la femme.

-Oui ma petite. Je suis Mathilde une amie de Maria je vis dans le pavillon de chasse un peu plus loin. C’est moi qui m’occupe du parc et des jardins.

Rose n’avait jamais entendu Maria mentionner cette femme! Qu’est-ce que ce lieu maudit lui réservait encore?

-J-Je ne vous ait jamais vu au château m-madame

Dit rose en tentant vainement de faire oublier ce qu’elle avait dit quelque seconde plus tôt.

-J’aime bien mon petit coin à moi ma chérie. Et puis tant que le parc se porte bien je n’ai aucune raison de déranger ta maîtresse.

Rose tenta de continuer la conversation pour éviter d’en arriver à parler de la situation.

-Mais c’était une très bonne idée de venir ici en tout cas. Pas de caméra et puis on est assez loin du château pour se faire oublier. Heureusement que je faisais ma sortie.

-Madame je.

-Alors comme ça tu voudrais t’enfuir? Je salue l’initiative. Vraiment. Mais tu vois cette petite chatte à raison. Ça rendrait Maria très triste. Je crois qu’elle t’aime vraiment bien. En même temps je la comprends. Regarde qu’elle jolie soubrette tu fais! et tu couines d’une manière tellement mignonne. Chaton?

Sofia leva la tête

-Oui?

-Fais-la couiner un peu.

La chatte sembla hésiter.

-Mais, Maîtresse…

-Oui chaton?

-On m’a demandé de lui obéir pendant toute l’après-midi.

Mathilde sembla comprendre immédiatement.

-Oh! Pas de problème. Notre petite soubrette ici présente va te le demander. N’est-ce pas ma petite? À moins que tu veuille que je raconte a Maria a quel point sa servante est une vilaine fille qui aurait besoin d’être punie bien plus fort.

Rose avala sa salive en réalisant à quel point elle était piégée. Si Maria apprenait ce qu’elle avait dit, elle sombrerait dans un enfer de chatouille, de fessée, d’humiliation et de mille autres punitions que sa maîtresse ne manquerait pas de lui infliger.

-N-non Madame….

Dit elle d’une petite voix.

-Pardon?

-Non madame je ne veux pas que vous racontiez ce que j’ai dit a maîtresse.

Mathilde parut satisfaite par la gêne de la soubrette.

-Alors, demande-lui de te faire couiner.

Rose était pivoine dans son uniforme rose bouffant. Surtout qu’elle ne pouvait pas détacher son regard des deux hommes qui restait parfaitement immobiles derrière la barre de la calèche.

-Fais-moi couiner s’il te plaît Sofia.

-Avec plaisir!

Immédiatement elle se jeta à ses genoux et plongeât ses doigts dans l’intimité de la soubrette dont les jambes commencèrent à s’agiter sous la pression.

-Mhhhhhhh! oohhhhh!

-Mhhh j’adore tes sons. Maria m’avait envoyé des vidéos, mais c’est quand même bien mieux en vrai!

-M-merciiiii madamme mmmmhh.

Gémis Rose, consciente qu’elle devait absolument satisfaire la femme si elle voulait survivre.

-Et puis la vidéo d’Aurore! Si tu savais le succès qu’elle eut. Te voir tété et jouir en même temps ça a donné des idées à beaucoup de monde.

Rose voyait bien ce qu’elle faisait. Elle tentait de l’humilier encore plus. Mais cette fois, elle ne briserait pas si facilement.

-Mhhhhhh oui. J-je suis contente que ça vous ait pluuuu madame.

Mathilde lui tournait autour comme un vautour autour de sa proie. Étudiant les moindres aspects de la jouissance de sa proie.

-Tu sais que je dois te punir?

-Ou-oui madame, je suis déhésolé d’avoir mal parler. Je je jure que je n’essayerai pas de fuiiir!

L’orgasme manquât de la projeter au sol, mais elle tient bon.

-Menteuse en plus? Je sais très bien que tu tenteras de t’enfuir.

La cravache vint s’écraser sur un de ses tétons exposés, lui arrachant un petit cri alors que Sofia faisait toujours aller et venir ses doigts dans son entrejambe

-Et c’est très bien. Ça veut dire que tu es encore saine d’esprit. Et c’est très excitant de voir une soubrette tenter de se rebeller contre ses maîtresses.

Dit-elle en caressant sa coiffe de servante, cette coiffe ridicule en frou-frou que Rose détestait tant, le gaziantep escort sitesi symbole de son humiliation!

-Et puis c’est moi qui aurais le plaisir de te chasser. Ça fait tellement longtemps que j’ai pas eu l’occasion de m’amuser comme ça.

Rose tressautait, à la fois de plaisir, mais également de peur. Cette femme était bien une chasseuse. Une chasseuse d’esclave!

-Oh! regarde, ils ont reconnu tes gémissements. Cette petite voix mignonne est décidément irrésistible.

Rose vit avec horreur que les deux étalons étaient désormais complètement dressés. Leur pénis semblait pointer directement vers elle!

-Si tu veux, tu peux tenter de t’enfuir et peut-être même qu’ils ne te rattraperont pas. Ou sinon tu peux accepter ta punition et être bien obéissant comme une bonne soubrette.

Rose déglutit. Ses jambes tenaient à peine debout! Elle ne ferait pas quatre mètres avant d’être rattrapée. De toute façon, à quoi bon tenter. Il était clair que si un jour elle s’échappait ce ne serait pas aujourd’hui. Soudain ses jambes manquèrent de la lâcher et se faisant elles s’enfonçât encore plus fort sur les doigts de Sofia et jouis immédiatement.

-Nhhhhhhhhhhh!!!! Je, je j’accepte ma punition! Je serais obéissante comme une bonne soubrette!

Cria-t-elle avant de tomber à genoux en soufflant.

Mathilde regardait la jeune fille qui reprenait son souffler avec délectation. Elle se dirigea vers son attelage et accrocha une laisse à l’anneau de cuir qui enserrait leur pénis.

-Tu sais quoi je vais te dire un secret.

Dit-elle en enlevant les sangles qui reliait ses esclaves à sa calèche.

-J’ai trouvé comment pirater ses petits trucs.

Dit-elle en pintant les colliers piégé qui enserrait le cou des esclaves.

-Faut pas le dire à Maria. Ça sera notre petit secret.

Rose arrivait à peine à bouger, ses jambes étaient si faibles qu’elle ne savait même pas si elle parviendrait à se relever.

-De temps en temps Maria part à l’étranger pour son travail. Généralement ça dure une semaine ou deux, pendant ce temps-là c’est moi qui ait la charge du domaine.

Rose ne comprenait pas vraiment en quoi cela la concernait. À part qu’elle aurait des vacances de temps en temps.

-Alors on va faire un jeu. Quand elle sera partie, je désactiverais ton collier.

Rose crut mal entendre … Quoi?!

-Mais uniquement dans cette zone.

Précisa-t-elle immédiatement après.

-Si tu tentes de partir du côté route ou ailleurs boum! Mais si tu parviens à traverser les jardins, tu auras juste à traverser la campagne sur un ou deux kilomètres pour croiser le premier village. Bien sûr il faudra me filer entre les doigts.

Rose n’en revenait pas. Comment était-il possible que des femmes soient aussi sadiques!?

Mais on lui offrait une possibilité de sortie! Même si elle sentait qu’elle n’avait qu’une chance sur mille de réussir elle se devait de tenter. Une chance sur mille ça reste une chance!

-Mais en attendant, voilà ce qui arrive aux vilaines soubrettes qui se font attraper.

Le petit sourire de Rose disparut quand elle vit que Mathilde était désormais en face d’elle avec ses deux étalons. Le visage de la jeune fille était désormais exactement au niveau des pénis dressés.

-Chaton?

-Oui .

-Ton amie va être occupée tu veux bien être une gentille fille et t’occuper de moi?

Encore une fois Sofia hésita.

-Ah oui c’est vrai. Soubrette? Tu peux demander à ton amie de s’occuper de moi pendant que tu te fais punir.

-Oui madame …

Dit Rose la mort dans l’âme.

-Sofia, tu peux t’occuper de madame pendant que je me fais punir pour avoir été une vilaine soubrette?

-Bien sûr!

Et immédiatement Sofia rejoint Mathilde qui s’était assise dans sa confortable carriole pour admirer le spectacle.

-Très bien, pour commencer je veux que tu leur dises merci pour punir la mauvaise soubrette que tu es.

Rose ne pouvait plus retirer son regard des deux pénis en érection.

-M-Merci de punir cette mauvaise soubrette.

Dit-elle alors qu’elle pouvait sentir les effluves des deux organes.

Les deux restèrent silencieux.

-Comme tu peux le voir, ils ne peuvent pas t’admirer. Mhhhhhhh tu es doué petite chatte.

Gémit-elle alors que Sofia massait doucement son entrejambe au travers de son pantalon noir.

-Donc je veux que tu leur décrives exactement comment tu es habillée et tout ce que tu vas faire. Pour commencer, fais-les jouir une première fois. Et je veux une voix mignonne et excitante. Sinon je dis tout à Maria.

Rose eut besoin de presque trente secondes avant de se décider à ouvrir la bouche. Elle avait accepté son sort pour cet après-midi, mais cela ne voulait pas dire qu’elle était mentalement préparée à s’humilier de cette façon.

Elle tenta de prendre une voix claire et mignonne et commença a parler.

-Je-Je m’appelle Rose. Et je suis une mauvaise soubrette qui a besoin d-d’être punie. Mon uniforme est tout rose et blanc avec des frou frou et j’ai des gants blancs. Mon bustier a deux petits trous en forme de cœur qui laisse passer mes tétons. Je porte de petits souliers roses avec des bas blancs.

Elle mourait intérieurement en entendant sa propre voix.

-J-Je porte un serre-tête avec la collerette blanche et rose des soubrettes et j’ai deux couettes avec des chouchous roses.